La ministre de l’Environnement islamo-gauchiste belge, Zakia Khattabi, semble bien plus à l’aise avec la géographie du Proche-Orient qu’avec celle de son pays…
Dès l’âge de 8 ans, les écoliers belges étudient le relief de leur pays. Les écoliers français ou suisses doivent les regarder avec envie, car le relief belge se limite à trois fleuves, la Meuse, l’Yser et l’Escaut. Si l’Yser ne coule qu’en Flandre, la Meuse et l’Escaut, eux, tracent un assez long circuit en Wallonie. Donc, lors de l’examen de géographie, à la question « Citez deux fleuves qui traversent la Wallonie », les écoliers répondent « la Meuse et l’Escaut » et peuvent dormir tranquilles. Cette question simplissime a pourtant embarrassé l’un des innombrables ministres belges. Et pas n’importe lequel puisqu’il s’agit de Zakia Khattabi, ministre de… l’Environnement ! Certes, les nombreux tweets qu’elle dispense quotidiennement laissaient déjà supposer qu’elle devait être une élève très moyenne, pour ne pas dire bornée, vu son vocabulaire plafonnant à 500 mots et son orthographe enfantine. Mais elle s’est surpassée lors de l’émission dominicale du 3 décembre où le très écolo-complaisant Christophe Deborsu lui a demandé quels étaient les deux fleuves qui traversaient la Wallonie.
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Si la question en dit long sur le niveau des débats politiques en Belgique, la réponse, elle, est hallucinante. Bégayant dans un sourire crispé, la ministre de l’Environnement n’a pu citer que l’Escaut et, malgré ses affligeants efforts, n’a jamais retrouvé la Meuse. Pour quelqu’un qui s’est fixé comme ambition de « sauver la planète », ça semble mal parti ! Déjà connue pour sa pratique de l’apartheid, renommé « non-mixité choisie » qui exclut toute personne qui ne soit d’ascendance marocaine, et pour son antisémitisme à peine voilé, elle avait scandalisé plus d’un Belge en refusant de reconnaître la qualification de « terroriste » au mouvement du Hamas, après l’épouvantable pogrom du 7 octobre. Elle avait justifié ce refus par le fait qu’elle ne connaissait pas la signification du mot. Si Zakia Khattabi doit dorénavant éviter l’emploi de tous les mots dont elle ignore le sens, cela nous offrira un silence très relaxant, mais hélas, on n’y croit guère. Il reste donc à l’informer que le vocabulaire, c’est comme la gestion du réseau hydraulique : ça s’apprend.