Les « woke », une lutte contre l’unité du genre humain
L’influence du mouvement woke n’est déjà plus à démontrer en Occident, en particulier aux États-Unis où il a vu le jour. Les Chinois aimeraient beaucoup se moquer de ce mouvement perçu comme celui d’une idéologie d’enfant gâtés et dégénérés. Au Canada, pays-extension de l’empire démocrate, son influence est perceptible chez la plupart des politiciens de « gauche », mais aussi de plus en plus chez des élus de « droite », ce qui est plus révélateur encore de son succès.
Tous les jours au Canada, on voit les codes et nouvelles normes de ce courant être diffusés et imposés à la télévision publique, où de nombreux animateurs et journalistes font du militantisme sans aucune retenue. On voit cette nouvelle utopie dans la posture du Premier ministre Justin Trudeau, dont le progressisme ostentatoire est reconnu mondialement.
Du grand Capital au grand Occidental
Mais qu’est-ce ce nouveau courant dont tout le monde parle ? Le mouvement woke s’enracine d’abord dans la gauche marxiste. On en reconnait plusieurs traits dans son univers : par exemple,
