À l’occasion de notre numéro 100, Olga Olivi vous parle de ses années Causeur…
À vous, chers amis de Causeur, des remerciements pour m’avoir ouvert les yeux, amusée, énervée, intéressée et le plus souvent passionnée. Si je me suis abonnée, je l’avoue, c’est en raison de la belle personnalité de Madame Lévy que j’ai toujours admirée pour son franc-parler et sa parole juste et honnête. Je suis de nationalité italienne et définitivement francophile. Votre pays est celui du savoir, de la bonne gastronomie, du meilleur vin et des râleurs qui ne se laissent pas faire. C’est très important de ne pas être un mouton de Panurge. Ainsi, Causeur est, pour moi, un journal pour tous les Français et ceux qui s’intéressent à ce pays.
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Tous vos articles sont bien écrits, c’est aussi très important. J’ajouterais que vous êtes souvent des précurseurs et que vos idées arrivent avant celles des autres ! Rien ne vous échappe et le panel des articles prouve non seulement votre éclectisme mais aussi votre honnêteté journalistique. Je voulais encore vous remercier de m’avoir fait connaître tant de journalistes que je ne connaissais pas et que je lis parfois ailleurs, dans d’autres journaux et magazines.
Et pour finir j’espère que vous continuerez à écrire ce que vous pensez, à dénoncer les injustices, à relater et analyser les mouvements de foules, à commenter ou critiquer les œuvres littéraires et artistiques intéressantes (ou pas), à dire la vérité, qui, comme disait Musset, est essentielle…
Notre numéro 100 vous attend dans les kiosques…
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