Ne soyons pas si cruels avec Valérie Pécresse…
Pendant la campagne présidentielle, elle avait été lamentable. Des meetings ratés. Des prises de paroles qui avaient la saveur et le goût de l’eau tiède. Et pour couronner le tout Sarkozy n’a cessé de lui enfoncer la tête sous l’eau en la traitant de « pimbêche ». Le résultat était prévisible: une bérézina !
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