Et si la Mayennaise prenait ?
En un débat télévisé et environ deux heures d’horloge, Valérie Hayer, tête de liste Renaissance aux élections européennes du mois prochain, s’est offert un regain de notoriété très inattendu, une embellie qui ne peut que la remplir de contentement. Eh bien figurez-vous que cela m’amuse beaucoup.
À la fin de l’épisode – de ces deux heures de télé – je pensais à ceux de son parti, ceux de la majorité présidentielle, les caciques aux petits pieds, les dégonflés, les lâches qui, ministres ou prétendants ministres ou encore chefs de clique, se sont empressés de refuser, eux, le mistigri du combat électoral.
