Valérie et valet de chambre


Hegel a dit ce qu’il fallait en penser : « Il n’y a pas de grand homme pour son valet de chambre ». Je sais bien que Hollande n’est pas un grand homme, et que Valérie n’est pas un valet de chambre. Alors disons qu’il n’y a pas d’homme respectable pour la femme qu’il a bafouée à la face du monde.

Et n’adoptons surtout pas le point de vue trop réducteur du valet de chambre et du ressentiment.

À un autre moment, la vengeance de Valérie aurait été de bonne guerre. Mais il faut tout de même qu’elle soit un peu fêlée pour estimer que son ressentiment personnel justifie de déconsidérer un homme en charge de la France.



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André Sénik, professeur agrégé de philosophie.

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