Gal Levy est un miraculé. Il dansait au Festival de Reïm, le 7 octobre, quand les tueurs du Hamas lui ont tiré dessus. Blessé, il est resté caché des heures durant. Nous l’avons rencontré à l’hôpital Sheba de Ramat Gan.
Il revenait d’Amérique du Sud où il avait passé quelques semaines après l’armée. Le pire qui pouvait arriver, pensait-il, c’était une rave party qui tourne au mauvais trip sous acide. Mais c’est la mort et la terreur qui se sont invitées au petit matin du samedi 7 octobre, au Festival de Reïm. J’ai rencontré Gal Levy au cours d’un voyage organisé par le KKL
