Le billet du vaurien
Mon ami tunisien, Mohamed-Djihâd Soussi, m’a transmis, outre un très bel éloge du suicide, une lettre de Cioran adressée le 22 juillet 1989 à Vincent La Soudière, lettre qui reflète tellement mon état d’esprit actuel que je ne résiste pas au plaisir de la reproduire ici.
Cher Ami,
« Je ne suis pas triste, mais je suis fatigué De tout ce que j’ai jamais désiré. »
Ces vers d’un poète anglais injustement
