Dans la nuit du mardi 3 mars, à Athènes, sur la ligne Pirée-Kifissia, une bande de jeunes anarchistes a attaqué et incendié une rame de métro, à l’aide de coquetèles Molotov et de bidons d’essence, provoquant la destruction de plusieurs voitures. Cette attaque a été revendiquée par un groupe du nom de « Bandes de Conscience/Extrémistes de Pérama ». Plus inquiétant et inédit, cette action a été dédiée à une syndicaliste bulgare vitriolée et toujours dans un état grave à l’hôpital d’Athènes mais aussi et surtout au dangereux terroriste français aux pouvoirs parapsychologiques Julien C, actuellement emprisonné à la Santé pour avoir saboter début novembre des TGV par la seule force de l’esprit et des idées. L’ensemble des polices européennes est sur les dents face à cette internationale d’un genre nouveau et l’on craint des actions similaires dans le métro parisien, réclamant par exemple la libération d’Aristote et de sa Logique incarcérés eux aussi, et ce depuis au moins depuis 2000 ans.
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