Le président d’Avocats sans frontières montre comment le grand quotidien du soir nous désinforme sur la guerre entre Israël et le Hamas.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, je ne suis pas monomaniaque. De mauvaises langues, des mal embouchés, des aigris pourraient trouver à mon insistance à railler l’odieux visuel de sévices publics comme une manière de manie unique. Eh bien je prouve par cet article que cette pathologie n’a rien de chronique. Car je pourrais consacrer ce billet au rapport documenté de l’Institut Thomas More, publié ce vendredi 24 mai 2024 dans Le Figaro Magazine et qui prouve, ce que je n’ai cessé de clamer, que l’audiovisuel public est par la gauche colonisé. Mais je n’en ferai rien, c’est juré. C’est craché. Je n’écrirai donc pas que Meurice Guillaume, syndicaliste SUD, n’ironisait pas quand il plastronnait, au sujet de l’humour sur
