Le mois dernier, le dessin de Marsault n’a pas plu à Cyril Bennasar. Il s’en explique.
Souvent, je commence la lecture de Causeur par la fin, par le dessin de Marsault. J’aime bien son personnage de Français tout en muscle et en marcel, qui ne se perd pas dans les nuances, ne craint pas de perdre son âme et ne fait pas dans la dentelle pour distribuer généreusement les mandales que méritent le wokisme, le féminisme, l’antiracisme et toutes les variantes de cette religion intersectionnelle des ratés qu’est devenu le gauchisme.
Enfin la plupart du temps mais pas toujours. Je crois me souvenir d’un dessin dans lequel son beauf traitait de pute une jeune fille délurée en crop-top et en string, rejoignant ce mois-là la racaille islamique et Patrick Buisson. Pas le fin stratège,
