Comme Marilyn Monroe et John Wayne, Donald Trump appartient au panthéon de la pop culture américaine. Sa vulgarité et ses mauvaises manières n’empêchent pas le président américain de répondre efficacement aux grands défis d’un monde de plus en plus instable.
Certains s’étonnent qu’un intellectuel raffiné, nihiliste de surcroît, puisse afficher ouvertement son soutien à un personnage aussi peu raffiné et intempestif que Donald Trump. Je les comprends. Mais ils me semblent aveugles à tout ce qu’il incarne : une Amérique conquérante, primitive, avec un colt dans une main et une Bible dans l’autre. L’Amérique d’Elvis et de Clint Eastwood, l’Amérique d’Andy
