Si les associations s’alarment de l’explosion de la transphobie, c’est aussi parce qu’elles souhaitent que tout propos critique sur les bloqueurs de puberté soit considéré « transphobe ».
Publiée le 15 mai, la 28ᵉ édition du rapport de SOS Homophobie sur les discriminations et la violence envers les personnes LGBTI (lesbiennes, gays, bi, trans et intersexes) fait froid dans le dos. Du fait de leurs préférences sexuelles, trop de gens, en France, sont encore insultés, chassés de leur famille, agressés, piégés dans des guets-apens. De nombreux témoignages sont mis en exergue au fil des pages, qui révulsent. Ainsi
