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«Sweet Mambo», ou la grandeur des danseurs

« Sweet Manbo » de Pina Bausch, avec le Tanztheater de Wuppertal, au Théâtre de la Ville, à Paris, jusqu’au 7 mai


«Sweet Mambo», ou la grandeur des danseurs
Andrey Berezin, Michael Strecker, Julie Anne Stanzak © Oliver Look

Sweet Mambo, de Pina Bausch, est actuellement donné par les danseurs du Tanztheater de Wuppertal au Théâtre de la Ville. Une leçon de virtuosité à ne pas manquer.


On a peur, très peur pour l’avenir des ouvrages de Pina Bausch, pour la sauvegarde du répertoire du Tanztheater de Wuppertal jusque-là magnifiquement préservé par les disciples de la chorégraphe allemande. Après les lamentables représentations parisiennes, l’an dernier, d’un « Café Müller » vidé de tout sens, dénaturé par des interprètes qui étaient des ectoplasmes (les hommes surtout), à l’exception notable d’une danseuse russe qui relevait le rôle alors porté par deux figures mythiques de la compagnie, l’Australienne Meryl Tankard et l’Espagnole Nazareth Panadero ; plus encore après cette imposture qu’est « Liberté


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