La cour de Cassation vient d’accorder aux SMS, par un arrêt rendu le 19 juin, la même valeur qu’aux lettres manuscrites dans les affaires d’adultère. Victime d’une infortune conjugale, une femme bafouée avait produit le texto reçu par son mari de la part d’une fieffée gourgandine pour justifier sa demande de divorce et avait été déboutée en première instance, puis par la cour d’Appel. Alors m’1tenan kan tékri je t’M a ta kops, si cé pa ta fam, fofer gaffe. Bone bz kan m.
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