Accueil Culture Simon Edelstein: vie et mort des salles de cinémas

Simon Edelstein: vie et mort des salles de cinémas

Le billet du vaurien


Simon Edelstein: vie et mort des salles de cinémas
France © Simon Edelstein Ed. Jonglez.

Le billet du vaurien


Simon Edelstein, archéologue d’un genre nouveau, est parti à la recherche de ces cinémas aux façades majestueuses qui se fossilisent et se décomposent dans l’indifférence générale. Pour qui a découvert le septième art dans les années cinquante, pour qui a fait de la critique de cinéma dans les années soixante, c’est mon cas, pour qui le cinéma était pratiquement une religion (au même titre que la psychanalyse), pour qui Éric von Stroheim et Sigmund Freud étaient des dieux, pour qui a dansé avec Ginger Rogers et Fred Astaire, rêvé de Louise Brooks, séduit Nathalie Wood dans la Fièvre dans le sang, sans oublier les innombrables et irrésistibles nymphettes en celluloïd qui lui révélaient sa sexualité, le monde du cinéma est devenu d’une austérité et d’une prétention qui lui enlèvent toute envie de se rendre


Article réservé aux abonnés
Pour lire la suite de cet article et accéder à l'intégralité de nos contenus
Formule numérique dès 3,80€
Déjà abonné(e)  ? Identifiez-vous




Article précédent La ROPA est bien l’antichambre de la GPA
Article suivant Alice McDermott, un chef-d’œuvre en quarante pages

RÉAGISSEZ À CET ARTICLE

Pour laisser un commentaire sur un article, nous vous invitons à créer un compte Disqus ci-dessous (bouton S'identifier) ou à vous connecter avec votre compte existant.
Une tenue correcte est exigée. Soyez courtois et évitez le hors sujet.
Notre charte de modération