Le 21 avril 2002, le coup de tonnerre, le tremblement de terre éclatait dans le ciel de la Ve république. M. Jean-Marie Le Pen accédait au second tour de l’élection présidentielle. Elu de justesse par 50,07 % malgré les manifestations d’une jeunesse manipulée, le président Le Pen mit en route une vigoureuse politique anti-immigrationniste en créant un ministère de l’Identité nationale, confié à Carl Lang. Il pratiqua également une politique d’ouverture assez inédite auprès de la société civile (Alain Soral, Fadela Amara) et de la gauche (Bernard Kouchner, Manuel Valls). C’est sans problème qu’il devait battre au second tour de 2007 le leader du NPA, Olivier Besancenot par 82 % des voix.
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