Promue présidente du conseil politique de Yannick Jadot, l’écoféministe continue le combat sur les réseaux sociaux. Elle y prodigue mille-et-un conseils woke dont le candidat EELV pourra tirer profit pour convaincre une majorité de citoyens.
Nous avions été un peu déçus ; nous espérions tant. Yannick pas-un-mot-plus-haut-que-l’autre Jadot avait été élu à la primaire EELV et nous pensions, un peu tristes, que Sandrine Rousseau allait se faire toute petite dans un coin. Nous en étions fort marris ; l’automne s’annonçait maussade. Mais, ô miracle ! l’espoir renaît : non seulement Dame Rousseau a été bombardée Présidente du Conseil politique de la campagne de Yannick Jadot, mais, de plus, il semblerait bien qu’elle ait décidé de passer à la vitesse supérieure. Objectif : transcender les limites de la raison et de l’intelligence pour élargir sans cesse les contours du Royaume d’Absurdie. Résultat atteint en quelques jours, en quelques interventions télévisées, en quelques tweets. Prions pour que cela dure.
Fatiha Agag-Boudjahlat et Maïa Mazaurette: pas assez woke, mon fils!
4 novembre. Sur la chaîne parlementaire, face à Fatiha Agag-Boudjahlat – qui considère que la campagne de promotion du hijab du conseil de l’Europe reprend « les éléments de langage des islamistes » et normalise « une pratique patriarcale, rétrograde et sexiste » – Sandrine Rousseau a relativisé le port du voile islamique en
