Demain marquera le premier anniversaire de la mort de Samuel Paty, professeur décapité en pleine rue. Aujourd’hui, un hommage lui est rendu dans les établissements scolaires. Mais là où une prise de conscience aurait été nécessaire, Elisabeth Lévy voit surtout de l’aveuglement.
Sur le site de l’Éducation nationale, il est écrit que les établissements pourront organiser un temps de recueillement. Laurence Ferrari le confirmait hier sur CNews, l’Éducation nationale lui a précisé que c’était bien optionnel. Cette décision est peut-être rationnelle, sinon raisonnable. On n’a effectivement pas envie d’entendre aujourd’hui des adolescents et des élus islamo-gauchistes
