De Lyon à Grenoble, en passant par Bordeaux, les nouveaux élus écolos s’en prennent aux coutumes et traditions si chères aux Français. Pour le maire de Béziers, ce mépris du peuple et ces clowneries auront pour seul effet de décrédibiliser la fonction d’élu local, et, malgré son succès électoral récent, l’écologie elle-même.
Je vais être honnête avec vous : je crois que nous avons passé un cap. Je pense que nous avons tourné une page de notre histoire. Et que, dans les bouquins d’histoire justement, ceux qui seront écrits dans cinquante ans, on retiendra cette date : le jeudi 10 septembre 2020, le jour où tout a basculé. Le jour où un abîme d’imbécillité s’est ouvert sous nos pieds. Le jour où Pierre Hurmic, maire de Bordeaux, a décidé de supprimer le sapin de Noël.
Il a fallu que cela arrive en 2020, une année bizarre. L’année des masques, l’année où celui des maires écolos est tombé. Quelques mois après leur élection, on voit enfin à qui on a affaire. Au moins, avec les maires socialos ou cocos d’antan, c’était Balzac et La Comédie humaine. Avec les nouveaux maires écolos, c’est San-Antonio. On est avec Béru chez les fous.
Nous savons qu’ils sont l’extrême gauche haineuse, antifrançaise, antihumaine qui s’est grossièrement badigeonnée de vert. Mais attention, la peinture s’écaille
Chaque jour ou presque, Twitter s’enflamme dès qu’un « kmaire vert » lance un oukaze. Dans ce happening permanent, la raison vacille. Partout où ils sont
