Devant nos deux expressos, le comédien belge, écrivain depuis peu, m’a parlé de Bertrand Blier, de Depardieu, de ses spectacles, de sa judéité et de son oncle Henri jamais revenu d’Auschwitz.
Riton Liebman est toujours une vedette. Nous avons trouvé refuge dans une brasserie du XXe arrondissement et, très vite, un homme l’a interpellé : « Mais je vous connais, vous ; je vous connais ! ». Riton lui serre la main ; il lui demande où ils se sont rencontrés. « J’ai travaillé sur un film dans lequel vous avez joué », déclare l’homme. Il s’agit d’un technicien du cinéma.

« Bite, cul, poils, trou ! »
Je profite de ce sympathique moment pour brandir le livre de Riton, Riton Liebman, la vedette du quartier (Séguier, coll. L’IndéFINIE ; 2024) : « Ce bouquin est formidable ! Achetez-le ! » dis-je à l’endroit du technicien. Formidable ? C’est
