« Moi, quand on m’en fait trop je correctionne plus : je dynamite, je disperse, je ventile ! » Vincent Peillon, député socialiste européen, a choisi la méthode Raoul Volfoni pour aborder le prochain congrès de son parti. Quelques jours après la fin des universités d’été du Parti socialiste, il a déclaré que le PS devait « sortir une dizaine d’individus malfaisants » de sa direction nationale. Pudique, il n’a pas souhaité indiquer de noms… Besson, Kouchner, Lang, Strauss-Kahn, Allègre : c’est fait. Encore cinq et Sarkozy a fini le boulot.
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