Philippe Meirieu, Danube de la pensée pédagogiste, a réussi un nouvel exploit : rendre Xavier Darcos sympathique. Non content d’avoir décérébré des générations de jeunes enseignants grâce aux délires des Lyssenko des IUFM qui n’ont plus vu un élève depuis les débuts du second mandat Mitterrand, Meirieu déclare dans Le Monde : « Cette réforme n’était pas prête. » Effectivement. Darcos, comme Ubu, se contentait d’envoyer à la trappe l’enseignement de disciplines existantes comme le Grec ancien ou l’économie. Meirieu, lui, est au contraire l’inventeur d’une discipline qui n’existait pas et qui n’existe toujours pas malgré les circulaires officielles : les sciences de l’éducation.
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