Ceux qui ont critiqué le film Vaincre ou mourir et ont des boutons à l’évocation d’un éventuel « génocide vendéen », seraient-ils les mêmes que ceux qui veulent absolument voir un « génocide » à Gaza, par hasard ? Le billet de Dominique Labarrière.
Il y a deux semaines, la chaîne de télévision C8 diffusait le film Vaincre ou Mourir, de Vincent Mottez et Paul Mignot. Ce long métrage retrace l’épopée du peuple vendéen dressé sous la bannière royaliste face aux armées de la Révolution. Le chevalier François Athanase Charrette de la Contrie conduit aux combats ces gueux magnifiques. Gueux et autres que gueux, d’ailleurs. Tous paieront au prix fort cette révolte certes désespérée, mais héroïque. Deux cent mille tués. Quarante mille massacrés par les vingt-quatre colonnes infernales de Turreau à qui le Comité de Salut public a donné pour consigne – sobre et claire – de les « exterminer tous. »
Un film
