Treize personnes sont jugées pour « harcèlement » et « menaces de mort » contre la jeune fille. Mais on ne peut imputer la responsabilité de son sort à la seule menace islamiste.
J’aurais des milliers de choses à écrire sur Mila, et sur l’affaire Mila.
Sur ceux qui harcèlent Mila. Sur les idéologies au nom desquelles ils la harcèlent, car il y en a deux.
Une censure qui s’étend
L’islam bien sûr, l’islam avant tout, l’islam qui se banalise, se normalise, impose petit à petit ses normes. Mais aussi l’idée que l’on devrait respecter la susceptibilité des musulmans quitte à renoncer à nos libertés et à notre dignité. Sur ceux qui propagent ces idéologies, de l’Église de Sociologie adepte de la « coexistence » à bien des instances officielles de l’islam, en passant par le Pape François. Sur ceux qui consentent du bout des lèvres à ce que l’on critique ces idéologies, mais voudraient rendre intouchables ceux qui choisissent
