Pour les élections européennes, notre contributeur sait au moins pour qui ne pas voter !
Il est temps pour la France de tourner la page de la gauche sans le moindre regret, marquant ainsi le début d’une rupture inéluctable et brutale. Toute la gauche ! Car les socialistes, les laïques, républicains, gauchistes, progressistes et les médias de gauche, autrefois chantres d’une gauche républicaine en France et en Europe, se retrouvent maintenant à dénoncer avec virulence le “communautarisme” de La France insoumise (LFI), alors qu’ils ont longtemps partagé la même table.
Le vote des quartiers islamisés très convoité
Malgré les protestations des politiciens établis et de la presse mainstream, la caravane de LFI dirigée par Rima Hassan avance inexorablement. Au fil des années, les Insoumis ont flirté avec le communautarisme en promouvant des initiatives telles que les clubs des abayas, les émeutes, les spectacles de Médine, ou encore le débat sur le burkini – tout cela dans le but de séduire les quartiers.
Le 9 juin, les citoyens seront appelés aux urnes pour les élections européennes. J’ai fait mon choix, mais je préfère garder secret mon vote, conformément au caractère confidentiel du scrutin. Cependant, je peux affirmer avec certitude que je ne voterai pas pour la LFI et Rima Hassan. Je revendique pleinement mon choix de voter contre Rima Hassan, car je ne la considère pas comme représentative. Je suis clair sur mon refus de voir la France plongée dans le chaos d’une guerre civile, et je rejette fermement le communautarisme. Voter ainsi, c’est affirmer mon attachement profond à la France. La tentative de séduction des quartiers avec la candidature de Rima Hassan est paradoxale, car les habitants de ces quartiers sont généralement soit apolitiques, soit d’extrême droite quand il s’agit de leurs pays d’origine, très conservateurs. Comment pourraient-ils soutenir complètement la LFI, alors que ce parti est imprégné de wokisme ? Les habitants des quartiers ont peut-être évolué vers un progressisme favorable à la communauté LGBTQ+ ? C’est peu probable… À mon avis, leur choix est précipité et stratégique, car les habitants des quartiers préfèrent souvent un chat domestique à un lion sauvage. La LFI, telle une bande de chats dociles, est prête à tout pour séduire son électorat, tandis que la droite, représentant le lion, ne fléchira jamais, sauf peut-être dans sa version la plus modérée.
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La LFI mise sur la candidature de Rima Hassan, qui proclame fièrement être palestinienne, de Gaza, révolutionnaire. Et “Je suis française”, c’est pour quand ?
Notre modèle a depuis trop longtemps été vilipendé
La stratégie des islamo-gauchistes risque fort de se retourner rapidement contre eux, mais ils semblent ne pas en être conscients…
Notre situation politique actuelle rappelle singulièrement celle de 2015, lorsque la presse progressiste célébrait la ville américaine de Hamtramck, dans le Michigan, pour avoir élu son premier conseil municipal à majorité musulmane. Aujourd’hui, la réalité semble bien différente. Le 13 juin 2023, le conseil municipal de cette ville, désormais exclusivement composé d’élus musulmans, a voté une loi interdisant l’affichage de drapeaux LGBTQ+ sur les propriétés publiques, signe d’un rejet flagrant de valeurs appréciées à gauche…
En Angleterre, galvanisé par sa victoire politique axée sur l’environnement et la cause palestinienne, Mothin Ali, candidat musulman du parti Vert, a fait une entrée spectaculaire au conseil municipal de Leeds. « C’est une victoire pour Gaza ! » s’est-il exclamé, avant d’ajouter : « Nous ne serons pas réduits au silence. Nous porterons la voix de Gaza. Nous porterons la voix de la Palestine. Allahu Akbar! ». Malaise…
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Pendant des années, nous avons été sermonnés par les Anglo-Saxons alors que nous luttions contre le communautarisme et défendions notre laïcité, qualifiés de passéistes liberticides pour avoir soutenu notre modèle d’assimilation. Mais certains événements récents montrent que nous avions raison.
En Angleterre comme en France, nous trouvons des métropoles cosmopolites qui méprisent les régions périphériques attachées à la culture nationale d’origine. Que ce soit le maire de Londres ou celui de Paris, ils sont prêts à tout pour maintenir un vivre-ensemble qui n’existe souvent que dans leurs têtes ou les discours. Le multiculturalisme est inscrit dans la loi britannique, tandis qu’il est subi au quotidien en France. En Angleterre, ils ont leurs « zones de charia » avec police et tribunaux islamiques. Nous, nous avons nos quartiers abandonnés de la République où les commerces sont majoritairement tenus par des étrangers et où les jeunes caïds surveillent ceux qui ne respectent pas le Ramadan ou les filles habillées à l’occidentale.
Allons voter le 9 juin aux élections européennes, mais alors que LFI a mené sa campagne électorale sur Gaza, réfléchissons bien à nos priorités. L’Europe est le continent de la croissance lente, où les principes de libre-échange ont attiré le monde entier. Mais où l’ouverture des frontières a malheureusement laissé entrer des gens qui n’aiment pas la culture occidentale.
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