Nos impôts, leur radio!
Cela fait belle lurette que France Inter ne cache plus ses accointances avec le milieu gauchisto-progressiste. Tous les Français participent financièrement au fonctionnement de la radio publique mais nombreux sont ceux qui s’y font régulièrement insulter par des journalistes militants ou cracher dessus par des « humoristes » ricanants. La « radio de sevice public », pour dire comme Gilles-William Goldnadel, est une officine ouvertement de gauche ne ratant pas une occasion de dénoncer certains médias privés qualifiés systématiquement d’extrême droite et auxquels elle reproche, avec un certain culot, de manquer de pluralisme. France Inter c’est un peu, beaucoup, passionnément la radio de l’entre-soi écolo-gauchiste, l’organe des bien-pensants wokes et des donneurs de leçons, des anti-flics pavloviens et des pro-migrants éloignés de toute réalité. Comme Libération, France Inter a un goût prononcé pour le discours orienté et tendancieux, de gauche, voire d’extrême gauche. Léa Salamé a assurément amusé la galerie le jour où elle a déclaré le plus sérieusement du monde au Figaro : « France Télévisions et Radio France ne sont pas de gauche ». Ces derniers jours, la radio publique a profité du cinquantenaire du journal Libération pour lui offrir une exceptionnelle promotion publicitaire gratuite, ou, plutôt, payée par tous les contribuables.

Roucoulades
En vérité, ce n’est pas vraiment nouveau. Chaque matin, en effet, lors de sa revue de presse portant à gauche, Claude Askolovitch cite en salivant de bonheur Libération. Ce sont le plus souvent des articles valorisant l’immigration, la diversité, le magnifique « vivre ensemble » qu’elles promettent, ou dénonçant le retour de l’ultra-droite et de la « bête immonde », ou portant aux nues des hommes « enceints » ou cette belle jeunesse estudiantine et mélenchoniste qui occupe et ravage les universités. Au comble du bonheur, M. Askolovitch lit ces extraits
