Sur les eaux de la Seine, sur six kilomètres, la France a étalé ses festivités dans une ambiance assez décadente, le premier jour des Jeux olympiques. C’est le constat accablé que fait Driss Ghali, après la cérémonie d’ouverture à Paris.
Il paraît que critiquer la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques fait de vous un facho. Eh bien, moi je dis qu’il vaut mieux se tenir debout que faire allégeance à la laideur et à la subversion ! Qu’il vaut mieux être fidèle à l’identité française que s’agenouiller devant des hommes en slip ou des femmes portant une barbe jaune. Autrement dit, que l’avis de l’opinion majoritaire à Paris intramuros doit nous importer peu. Et qu’avant-hier encore, il a été prouvé qu’il s’agit d’une boussole qui indique le sud.
Allégeance au lobby LGBT
Sur les eaux de la Seine, sur une longueur de six kilomètres, la France a étalé sa décadence. Une décadence devenue identité. Aujourd’hui et aux yeux des élites hexagonales qui ont tellement désiré ces Jeux et voulu cette cérémonie d’ouverture en plein air, aux yeux de ces élites donc, être français en 2024 revient à faire allégeance au lobby LGBT et à la promiscuité sexuelle. Être français à leurs yeux, c’est être un homme qui embrasse
