La gauche française a délaissé le peuple français, pour faire le trottoir dans les banlieues islamisées. Une bien triste trajectoire. Le billet d’humeur de Benoît Rayski.
La gauche fut belle du temps qu’elle était jeune, vu le beau visage de Jaurès assassiné en 1914. Puis il y eut celui d’un homme cultivé et intelligent : Léon Blum. Et plus tard, l’espace de quelques années, celui de Mendès France, un homme honnête et courageux.
Puis, Mitterrand vint, un politicien habile et sans scrupule. De Gaulle, qui le connaissait bien, le surnommait « arsouille ».
