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Nicolas Peyrac et mon père

Les tubes de l'été (3)


Nicolas Peyrac et mon père
Le chanteur Nicolas Peyrac en 1977 © VILLARD/SIPA

Les chansons de Sophie, série d’été


Cette chronique, je la dédie à mon père, qui nous a quittés par une maudite nuit caniculaire de l’été 2020. La peine s’estompe, et les souvenirs reviennent. Il était ce qui convient d’appeler un intellectuel, en effet, il enseignait la littérature à l’Université. Cependant, comme moi, il adorait la culture populaire, les chansons de variétés, les films de de Funès que nous regardions ensemble… Je me souviens encore de son rire devant les mimiques du grand Louis. Je l’entends encore me dire : « Joe Dassin est un grand » alors que nous regardions religieusement une émission des Carpentier. Les chiens ne font pas des chats…


Au mitan des années 70, Nicolas Peyrac fit son apparition dans le paysage des chansons dites de variété, alors que selon moi, il est un véritable chanteur folk. Une rareté en France.

Mon père et moi étions tombés amoureux de So far away for L.A, le pendant


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est enseignante.

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