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Mon cambriolage, je l’ai pas volé


Ces dernières semaines, j’ai pu constater la disparition, dans mon chalet d’alpage, d’une chaine de tronçonneuse, d’un piège à souris d’un modèle que je me garderai bien de définir plus avant, sous peine d’être accusé d’homophobie, et d’une loupe habituellement utilisée par mes petits-enfants pour mettre le feu à des brins de paille en concentrant les rayons du soleil.

Je n’avais pas fait le rapprochement de ces disparitions mystérieuses avec le fait d’avoir abordé, sur Causeur, l’affaire Bettencourt-Woerth. En y réfléchissant selon la méthode Plenel, il est maintenant clair que l’on a voulu, du côté de l’Elysée, me faire passer le message suivant : « Tu es fait comme un rat, on t’a à l’œil et si tu te t’écrases pas, on te découpe en rondelles… »



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