L’inarrêtable ogre du wokisme n’a pas fait une exception avec les concours de beauté, institutions fondées par la civilisation « d’avant », vestiges d’une époque que les militants rêvent d’abolir…
La nouvelle Miss Buenos-Aires a 60 ans[1], celle du Népal pèse 80 kilogrammes[2], l’actuelle miss Portugal est née homme[3] et la jeune femme élue au début de l’année Miss Japon est… d’origine ukrainienne[4].
L’inarrêtable ogre du wokisme n’a pas fait une exception pour les concours de beauté, institutions fondées par la civilisation « d’avant ». Eurovision, cérémonie des Oscars ou concours de Miss: les idéologues de la bien-pensance moderne savent choisir les canaux de communication qui leur garantiront l’audience la plus large et probablement la plus importante – celle des classes populaires.
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Depuis des années et pratiquement partout dans le monde, les concours de Miss avaient leur fidèle public, grâce aux spectacles (souvent) de qualité d’un côté, et à une habile dose de ringardisme de l’autre, offrant pour un soir aux jeunes filles participantes un
