C’est la thèse soutenue par l’universitaire Mireille Huchon. Tout ce que la Sorbonne compte de féministes lui tombe dessus.
Louise Labé, figure incontournable de la poésie de la Renaissance et de son « École lyonnaise », n’existe pas. Ou plutôt, elle ne serait qu’une médiocre courtisane ayant servi de prête-nom, ses œuvres ayant été en réalité écrites par une bande de poètes humanistes fantasmant sur les femmes écrivains de l’Antiquité, telles que Sappho, et décidés
