Le 17 mars dernier, Robert Ménard, ex-boss de Reporters sans frontières, menaçait de démissionner de son poste de directeur du Centre de Doha pour la liberté de la Presse, une institution financée par l’épouse de l’émir du Qatar. Il a piqué une grosse colère en prenant conscience que les confortables émoluments qui lui sont versés par cette dame d’œuvre pétroleuse ne l’autorisent pas à diriger effectivement cette Gongo (Governemental non governemental organisation). Ainsi, la maison de repos pour journalistes persécutés qui devait être la vitrine de ce centre n’abrite, après un an de fonctionnement que deux pensionnaires, les autres n’ayant pas obtenu le visa d’entrée au Qatar.
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