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Placido Domingo, c’est pas l’Amérique

Attention aux fausses notes !


Placido Domingo, c’est pas l’Amérique
(©) Soleil

Plus que le critique, le comédien, le musicien et le danseur, c’est l’ouvreuse qui passe sa vie dans les salles de spectacle. Laissons donc sa petite lampe éclairer notre lanterne !


Jusque-là tout allait bien. Le 13 août, l’agence new-yorkaise Associated Press, qui avait eu la peau du chef d’orchestre suisse Charles Dutoit il y a trois ans, balance un nouveau porc : la superstar Placido Domingo. On s’en serait douté. Latin lover des plateaux, l’hidalgo n’a jamais eu la main molle. Une tranche de vie, l’animal. Œil grand ouvert, le reste aussi. Tout le peuple lyrique avait son potin. Et, forcément, ses victimes.

L’Associated Press en a trouvé neuf. Une danseuse, huit chanteuses. Pour balancer, ça balance. « Il m’attendait en coulisse. » « Patricia, tu dois vraiment rentrer chez toi ce soir ? » « Il a


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Octobre 2019 - Causeur #72

Article extrait du Magazine Causeur




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