Un président cul-cul la praline qui se livre dans Pif Gadget. Un ministre pan-pan cul-cul qui se lâche dans Têtu. Et Marlène, la divine, qui nous fait dans Playboy crac boum hue mais pas cul-cul nu ! Pour échapper aux french-cancans, Macron se casse en Chine pour se faire un riz cancantonnais. Pas sûr que tout ça rassure le citoyen, ou relance la machine… Mais avec Macron et ses sous-doués, c’est la fête à neuneu et ça, au milieu du chaos: c’est un bien précieux. En vue des JO, à défaut de voir un c**, au moins on a des champions !
Quel talent! Au plus haut-sommet de l’Etat, on n’a jamais autant parlé de cul. Mais à tout seigneur tout honneur ça démarre avec le patron himself. Dès le début de son mandat il place la barre très haut. Il déboule un soir sur scène, choppe le micro pour dire à la France entière qu’un certain Mathieu Gallet n’est pas son amant. A un pays pour qui « gallet » n’est qu’un savon ou un caillou lisse propice aux ricochets. Il remet ça avec Benalla, démentant rencontrer son garde du corps de cinq à sept alors que personne ne lui demande l’heure, et encore moins sa montre. Ne revenons pas sur son coup de chaud à Saint-Martin… Dans le sillage de ces macronades, les macronistes reçoivent le message 5/5. On va se lâcher.
Griveaux. Mon idole. Les gilets jaunes pouvaient défoncer la porte de son ministère, la prendre à la tronçonneuse, même pas il les calculait. Il était au téléphone. Et quand mon neveu Benjamin téléphone il ne fait pas semblant. Il est à fond dans le sujet. Et si le téléphone pleure, les kleenex ce n’est pas fait que pour les couillons en jaune qui chialent à cause des lacrymogènes. Si Macron lui avait refilé le téléphone diplomatique, l’Europe n’en serait pas là. Avec lui le bonheur était simple comme un coup de fil.
Abad the bad. Macron a le pif pour recruter. Quand il a voulu se faire LR il a pris son temps pour renifler le terrain et tâter les transfuges potentiels. Avec sa truffe infaillible il a levé un drôle de gibier à plume. Le piou-piou Damien pour le kid d’Amiens. Un beau tableau de chasse mais en voyant tout LR pris d’un fou rire, le kid comprend que cet Abad a plus d’une cartouche dans l’aile.
A relire, Blanche de Mérimée: Pif paf pouf
Cayeux. Vous m’avez eu avec Abad mais j’ai des ressources. Je vais vous faucher Cayeux. Hein, alors on fait plus les malins là? Pourquoi ils rigolent encore ces cons? Là on est en plein dans le paradoxe Macron. Son univers où le nord est à l’ouest, où à coups de en même temps on n’y comprend jamais rien. Son gouvernement et son environnement politique comptent, en proportion, plus de pacsés et de mariés du même sexe que la rue du Temple dans le Marais. Et pourquoi pas, d’ailleurs si c’est les meilleurs. Et il va se chercher une dinde farcie de la droite catho qui n’a pas attendu Thanksgiving pour se prendre les pattes dans la nappe de l’homophobie.
Dussopt le stop and go. La pépite, un podium assuré. Le Mister nobody du gouvernement. Tout le monde le découvre avec le projet de loi sur la retraite. Et découvre l’incompétence incarnée, la prétention décomplexée d’un homme pas aidé par une oralité de canard décongelé au micro-onde. Devenu par ses talents conjugués une belle tête de turc, il va nous verser deux litres de larmes dans Têtu pour dire qu’on ne l’aime pas parce qu’il est homo. Il y a deux heures personne ne le connaissait. Quel athlète!
Les hommes préfèrent les… Sa foulée de gazelle met le feu au stade. Qu’elle finisse dans Playboy quoi de plus normal, rien de plus naturel. Au diable les jalouses, la Borne coincée dans son code de la route. La Marlène embarque dans le cockpit de tous les routiers, enroulée dans son drap de couette. Des photos oui, mais jamais sans son drap. Non! On ne la voit jamais à poil? Non. Par contre il y a 12 pages consacrées à ses pensées les plus profondes. Merde! Même pas un nichon? Non, sa réflexion sur la condition féminine, ses solutions blablabla etc… N’importe quoi! Sa philosophie, ça vaut pas un pichet de cidre, alors que sa plastique c’est du Botero, du Toulouse-Lautrec aller-retour, de la bombe.
Pif paf pim pam poum. En attendant le prochain champion, le Conseil des ministres se délocaliserait rue Thérèse. Dans un haut-lieu de la gymnastique républicaine. Nos athlètes ont maintenant besoin de se consacrer à fond à leur discipline, à l’abri des regards et des curieux. Les J.O. s’approchent à grands pas, on compte sur vous les gars! Allez la France!