Une chose est certaine, on ne pourra pas reprocher aux organisateurs de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques labellisés Paris 2024 de ne pas avoir strictement observé les impératifs du moment. Impératifs moraux autant qu’idéologiques, bien entendu. Pour complaire à l’intelligentsia, je veux dire la nôtre, celle de notre Occident allègrement en voie de déconstruction, il fallait absolument que la chose fût inclusive. Or, pour l’être, inclusive, elle l’aura été. Tout a été dûment racisé, transgenré, drag-queenisé, lesbianisé, arc-en-ciélisé. Du rose en abondance. Et de la gesticulation désarticulée à foison. On se disait que la pluie allait finir par rafraîchir tant d’ardeurs. Nullement. Le
