À Grenoble, l’extrême-gauche et son maire EELV ne sont rebutés par aucun délire relevant de l’idéologie déconstructiviste. Après le “dégenrage” des cours de récréations, voici venu le temps des “toilettes non genrées” et de la promotion de la “transidentité”.
Après que deux élèves se déclarant transsexuels ont profité de la circulaire de Jean-Michel Blanquer appelant à une « meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire » pour attirer l’attention de l’administration du lycée André Argouges sur leur sort, cette dernière a décidé d’installer dans l’établissement en question « un toilette non genré dans chaque bâtiment ». De plus, les professeurs de ce lycée devront maintenant ajouter sur le formulaire de rentrée de chaque élève, en plus de la mention « Prénom », une mention « Prénom choisi », et des associations auront porte ouverte durant une « semaine LGBT » d’ores et déjà prévue. Ces virulentes associations LGBT multiplient les demandes de « rencontres » dans les établissements scolaires et réclament, au nom de l’inclusion, un traitement différencié et de faveur pour les personnes dites non-hétérosexuelles, non-binaires, transgenres, etc., tout en dénonçant une fantomatique “hétéronormativité” supposément imposée par un Pouvoir tout à la fois “hétérocentriste”, patriarcal, capitaliste, colonialiste et raciste.
Quasiment tous les établissements scolaires et toutes les universités sont aujourd’hui assiégés par la folie idéologique transidentitaire. Jean-Michel Blanquer a entériné les élucubrations d’une minorité qui fait la loi en édictant une circulaire appelant à prendre en compte « la diversité des situations des transidentités » (Circulaire du 29 septembre 2021). Pap Ndiaye est sur la même longueur d’onde. Il pourra, de surcroît, se revendiquer des derniers égarements de l’OMS qui prévoit d’inscrire dans ses prochains textes que « le sexe ne se limite pas aux hommes et aux femmes » (sic). Il s’agit, dit l’organisation,
