Habitué aux joutes médiatiques, hier comme dirigeant communiste, aujourd’hui comme chroniqueur politique, Olivier a des tripes et du cœur quand il s’agit de défendre ses idées. «J’aime qu’on me contredise!» pourrait être sa devise.
Rien n’y fait. Quand ça ne veut pas… Malgré des efforts soutenus pour atteindre l’excellence, comme on dirait à « Stan », en dépit de solutions égrainées avec l’entrain d’un serveur téléphonique : « Pour avoir des gestionnaires, tapez 1 ; pour des révolutionnaires, tapez 2 », nonobstant la promesse de « réarmement » et de « régénération », l’imaginaire politique d’Emmanuel Macron reste en cale sèche. Le libraire de mon quartier a très certainement perçu ma quête d’épopée quand il m’a conseillé de me plonger dans Les Naufragés du Wager, de David Grann (LeSous-Sol,
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