Le billet du vaurien
Je me garderai bien de répondre à leur place, sinon pour avouer que je considère les femmes comme des animaux dangereux dont on ne se méfiera jamais assez. Je suis d’ailleurs toujours surpris de voir comment avec des techniques assez raffinées, elles parviennent à mettre en laisse « l’homme de leur vie » et à voir comment ce dernier se soumet volontiers à leurs caprices et, pour le dire simplement, ont peur d’elles. En jouant le rôle de la victime, elles tissent des pièges dont l’homme est incapable de se dépêtrer et finit, par lâcheté, à s’accommoder, persuadé qu’il est un incorrigible égoïste dont la rédemption passe par la libération du petit être fragile et sans défense dont il abuse.
Eh bien, qu’y puis-je? Rien…
J’en parlais avec une amie colombienne qui, pour une fois,
