Être français ne va plus de soi. Or les maltraités, trop passifs, ne méritent pas leur sort. La montée de l’antisémitisme islamisé s’est accompagnée de la haine de la France française, au nom de l’universalisme déraciné et de la repentance perpétuelle. La « fierté française », qui emplit les discours des Jeux olympiques, est un leurre.
Fausse bonne nouvelle. En apparence, les dirigeants politiques ouvrent un œil, dérangés par la France qui se délite et laisse venir la guerre civile, en Nouvelle-Calédonie comme à Mayotte ou en métropole. Cependant, les somnambules restent engourdis par le sirop du « vivre-ensemble ». Certes, ils parlent avec des mots qu’ils reprochaient hier à la « fachosphère ». Ils s’alarment ainsi du nouvel antisémitisme, observable depuis trente ans dans les cités. Il explose depuis le pogrom du 7 octobre contre Israël. Les dénégationnistes reconnaissent enfin l’entrisme des Frères musulmans déguisés en agneaux blessés. « Ils attaquent tous les pans de la société et se constituent en réseaux », explique même Gérald Darmanin (JDD, 5 mai). Le ministre de l’Intérieur admet que l’islam politique a subverti « le sport, l’éducation, la médecine, la justice, les organisations étudiantes et syndicales, les ONG, la vie politique, associative, culturelle ». Mieux vaut tard que jamais. Toutefois, la lucidité des traîne-savates se heurte à leur croyance en la « diversité » – que Renaud Camus qualifie de « pire

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