Élèves armés, professeurs agressés ou menacés, la violence fait partie du quotidien de l’Éducation nationale. Mal formés, souvent lâchés par leur hiérarchie et leurs collègues, les profs se retrouvent seuls face à des élèves qui ignorent le respect qu’ils doivent aux adultes. Face à cette crise profonde de l’autorité, l’institution répond encore « inclusivité ».
Dire que l’école n’est plus un sanctuaire est un lieu commun. En quelques décennies elle est devenue une cible désignée du terrorisme islamiste, un champ de bataille de revendications communautaristes, où la violence est de plus en plus présente. Anciennement « creuset de la République », l’école est le théâtre de tous les conflits de la société. Le métier de professeur est un sport de combat face à des incivilités multiples, un sport qui peut signifier danger de mort. En témoignent les cas tragiques de Samuel Paty et Dominique Bernard, mais aussi des violences inédites, qui ne sont plus exclusivement commises au nom de l’islam : en quelques jours, on a appris qu’une collégienne de 12 ans avait menacé sa professeur d’anglais avec un couteau de 30 centimètres, et qu’un élève de troisième avait tenté d’empoisonner une enseignante d’arts plastiques en lui faisant boire du détergent.

enseignante agressée en plein cours.

violente d’une adolescente
par une bande de filles.

Communautarisme musulman et dogme de l’inclusion
L’islamisme n’est donc pas
