La complaisance qui entoure les manifestations antisémites sur les campus américains s’explique par un mot : l’argent ! Abreuvées de subventions venant de pays arabes, les universités ferment les yeux sur le militantisme de leurs étudiants. Et des philanthropes tels que Soros et les Rockefeller financent aussi bien le Parti démocrate que des lobbys « propalestiniens ».
Aux États-Unis, au cours des trois derniers mois, les campus universitaires et certaines institutions gouvernementales ont été le théâtre de nombreuses manifestations propalestiniennes accompagnées d’incitations à la haine, voire au génocide. Les actes d’agression et de vandalisme antisémites se sont multipliés dans les grandes villes. Et pour couronner le tout, le 5 décembre, les présidentes de trois des universités les plus prestigieuses, appelées àjustifier devant le Congrès la tolérance apparente accordée à l’antisémitisme par leurs institutions, n’ont pu donner que des réponses évasives. Comment expliquer une telle dérive dans une démocratie occidentale ? La clé de l’énigme réside moins dansla puissance des idées que dans celle de l’argent. Car l’argent séduit les instances dirigeantes, comme il finance les activités des militants. Si les autorités ont souvent tardé à sanctionner leurs étudiants qui célébraient ouvertement les atrocités du Hamas, ce n’est pas sans lien avec les sommes faramineuses dont des pays arabes, le Qatar en tête, abreuvent les universités
