Pour défendre l’idéologie du genre, l’Europe et la France peuvent compter l’une sur l’autre.
On connaît la controverse suscitée par la publication, le 30 septembre, de la circulaire Blanquer portant sur l’accueil en milieu scolaire des élèves transgenres ou en questionnement sur leur genre, définissant les règles sur le changement de prénoms, le port des vêtements et l’accès aux lieux d’intimité. On connaît moins bien le rôle joué par le Conseil de l’Europe qui exerce une pression constante sur ses 47
