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Le chant du Kazoo

Paolo Conte faisait de la littérature, de la grande littérature, sans le savoir


Le chant du Kazoo
Paolo Conte en concert à Venise le 9 juillet 2023 © Ottavia Da Re/Sintesi/SIPA

Pour sa dernière carte postale de l’été, notre chroniqueur se souvient de la nostalgie au goût du curaçao de Paolo Conte.


Voilà, c’est fini. Les agapes olympiques sont un émouvant souvenir. La vasque ne fume plus, la piste violette du Stade de France attend désormais les paralympiens. La rentrée est là, à un ticket de péage, elle toque à nos portes d’un poing levé ; les ministrables n’ont jamais été aussi friables ; les cabinets se forment et se déforment au gré de la rumeur élyséenne en cette fin du mois d’août ; les grèves s’impatientent et les touristes ont la mélancolie d’un Paris couleur bleu gendarmerie. Les vacances finissent mal en général. Car la perspective d’y retourner, au boulot, dans le métro, au bureau ou sous un préau est insoutenable pour les Hommes de cœur.

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Journaliste et écrivain. À paraître : "Tendre est la province", Éditions Equateurs, 2024

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