C’est une étude publiée ce matin qui fait trembler l’Élysée et les QG de campagne des autres candidats, particulièrement à gauche de l’échiquier politique…
Du 13 au 16 décembre, l’IFOP a mené une enquête auprès d’un échantillon de 1 003 personnes âgées de 18 ans et plus, représentatif de la population adulte résidant dans les « banlieues pauvres ». L’IFOP désigne ainsi « les communes situées en périphérie d’une agglomération qui affichent un niveau de vie médian annuel par habitant (RMUC) qui les classe parmi les 10% des banlieues les plus pauvres de France métropolitaine ».
Les banlieues ne se résument pas aux survêtements, au rap, à l’islam ou aux MJC !
En d’autres termes, l’équipe de François Kraus a décidé de prendre au mot le terme de banlieue, sans le réduire au terme de « quartiers ». Les entretiens ont été menés sous la forme de questionnaires auto-administrés en ligne. Commandée par Écran de veille, la revue mensuelle du site Global Watch Analysis, l’enquête met en lumière un fort ancrage à droite.
Santé, argent, sécurité…
Interrogés sur les « enjeux déterminants » sur leur vote à la présidentielle, les sondés placent sur le podium la santé et pouvoir d’achat ex æquo. La troisième place
