Dans son premier roman, Ce n’est pas loin du paradis, Laurent Peyrard raconte un autre 1981…
Voici un premier roman qui sort de l’ordinaire. Pas de langue de bois, de non-dits, de bons sentiments étalés pour rassurer le microcosme journalistique qui pratique la prophylaxie. Rien de tout ça, mais la vérité brutale de deux adolescents qui s’aiment et qui ont le malheur de côtoyer une bande « des quartiers dits sensibles ». Car ça ne date pas d’hier, ces histoires de cités interdites aux forces de l’ordre, aux pompiers et aux médecins. Mais on a fermé les yeux, ou on a regardé ailleurs, vers ceux qui vous disaient que tout ça, c’était bidon, que c’était un narratif écrit par des Français bien fachos.
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