Le 6 mars, sur France Inter, le syndicaliste Laurent Berger affirmait de nouveau ne pas vouloir faire de politique à son départ de la CFDT.
Même s’il s’en rapproche, le titre de cet article n’a rien à voir avec le beau poème de Verlaine « L’Heure du berger », ou avec ce moment où le crépuscule tombe et où les amoureux se retrouvent. Rien qui relève, dans ce jeu de mots facile, de la moindre poésie puisque je vais m’attacher à Laurent Berger, Secrétaire général de la CFDT dont le mandat va se terminer dans le calme, sur le plan interne et pour sa succession. Je ne voudrais pas laisser croire, à partir de mon appréciation personnelle, à une généralisation abusive puisque je suis persuadé que certains de mes lecteurs ne partageront pas ma vision de ce responsable syndical dont le proche départ a sans doute joué dans le regard favorable qu’on porte sur lui en ces semaines troublées.
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Pour ma part, je n’ai jamais
