
Tout le monde ne connaît pas Laurence Equilbey. Elle ne campe ni chez Delahousse ni chez Ruquier, thermomètres à popularité rayon culture – en attendant que Stupéfiant !, le magazine « moderne, accessible, addictif et parfois insolent » présenté par Léa Salamé sur France 2 décolle au-dessus de 5%.
Donc, tout le monde ne connaît pas Laurence Equilbey. Sauf dans le milieu. Il y a vingt-six ans, la frangine a fondé un chœur, Accentus, qui a envoyé des étincelles au-delà du sérail. C’est même un don qu’elle a, de pouvoir enregistrer des tubes commerciaux genre Adagiode Barber, ou carrément électro sous le pseudo d’Iko, tout en restant l’égérie de la Musique Contemporaine avec un M grand comme Ministre, qu’elle n’est pas (encore), et un C grand comme Commandeuse, des Arts
