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Dans la horde primitive de la teuci

«La Tour», de Guillaume Nicloux, en salles le 8 février


Dans la horde primitive de la teuci
© Wild Bunch

Dans le film d’horreur français « La Tour », Blancs, Noirs et Maghrébins se coudoient dans une proximité conflictuelle étouffante. Le film, d’une très grande violence, n’épargne pas les starlettes Angèle Mac et Hatik… Critique.


Dans L’Ange exterminateur, film génial de Luis Buñuel millésimé 1962, un étrange sortilège s’abat sur les invités d’un raout mondain dans une opulente villa mexicaine, leur interdisant soudain de quitter les lieux, tandis que le personnel de service s’évanouit dans la nature. L’enfermement ranime chez ces gens, a priori bien élevés, les instincts les plus primaires, déclenchant dans ce microcosme une sauvagerie où se dissolvent bonnes mœurs et bonnes manières.

Séquences gores et dénouement morbide

Le cinéaste Guillaume Nicloux transpose à sa manière l’argument, mais cette fois dans une de ces « cages à lapins » de béton qui agrémentent si joliment le paysage de nos banlieues contemporaines.


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